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Space
L’environnement insolite de Miss Kō est un voyage esthétique et culinaire dans un univers inattendu qui permet de se retrouver à toute heure de la journée.
À vivre en solo, duo, en famille ou entre amis,
Miss Kō est plus qu’un restaurant, c’est une œuvre d’art imaginée comme le scénario de science-fiction
pour une expérience inédite et fantasmagorique. Une œuvre globale dont le metteur en scène est Philippe Starck
et l’héroïne principale la mystérieuse Miss Kō.
Véritable temple de l’art urbain, Miss Kō invitera des artistes liés à des domaines variés comme la cuisine,
le design, la mode pour que l’excitation soit constante et l’effervescence, permanente.
Miss Kō est un restaurant, une cantine, un salon thé, un endroit de fêtes et une scène artistique où fêtes de famille, anniversaires, afterworks se jouent jours après jours Miss Kō symbolise les interactions non seulement dans sa cuisine et dans les styles décoratifs mais dans tout ce que les hommes peuvent avoir à échanger ou simplement à donner et à partager.
En plein cœur du Triangle d’Or, venez-vous perdre dans une décoration chic, fun et délirante imaginée par Philippe Starck.
Dégustez une « food street » nocturne et déjantée qui, sur 500m2, décline différentes façons de s’approprier le lieu, depuis la terrasse couverte sur l’avenue George V, jusqu’au spectacle des cuisines.
Un décor magistral
Le noir et les couleurs s’entrechoquent à travers le mobilier, à la fois original, contemporain et les éléments traditionnels aux notes asiatiques. Parmi les créations originales réalisées pour Miss Kō, figure un immense bar à manger de 26 mètres de long. Symbolisant l’esprit du lieu, partage convivial et éblouissement hypnotique, ce bar d’écrans réalisé par Philippe Starck s’impose comme la pièce centrale. Il diffuse en continu les journaux télévisés asiatiques qui sont rythmés par le passage d’un dragon dans une création vidéo du label Dalbin.
Sur un mur, l’artiste iconoclaste David Rochline signe une fresque monumentale. Ce créateur protéiforme, inspiré par l’esprit rock de ses débuts, déploie dans cette œuvre, son univers graphique foisonnant et minutieux, ses personnages comme tirés d’un manga futuriste évoquent également l’esprit des papiers peints à l’ancienne.
Cette « food street » prend vie grâce au morphing de visages asiatiques projetés sur le mur de béton qui viennent compléter la magie du lieu. Tout ce relief a été créé par Philippe Starck. est savamment mis en lumière par l’éclairagiste Jean-Philippe Bourdon, qui invite des ombres comme des figurants et joue sur des éléments qui semblent alors perdre toute proportion, telle cette création du plasticien Régis-R.